La ShekinahMère des Origines
ISBN : 978-2-940095-43-8
Nombres de pages : 306 Publication : juillet 2018 Editeur : Almasta Éditions Langue : française Prix : 24 € et 29,50 CHF Almasta Editions présente la Shekinah En l’an 19 av. J.-C., Maryam, quatre ans et demi, entre au Temple de Jérusalem.
À l’instant où Maryam passa la porte de l’habitation des femmes, elle sut que Dieu s’était trompé. Dans ce Temple, il n’y avait aucun signe de sa chaleureuse présence. Qu’allait-elle faire maintenant ? Il l’avait pourtant désignée pour le servir. Elle. Maryam. N’était-elle pas née pour cela ? |
Ce roman initiatique raconte la fascinante histoire d’une femme qui a personnifié l’essence du féminin sacré, la face voilée de l’humanité restée dans l’ombre pendant des millénaires. Marie, la mère de Jésus, nous indique une voie que, deux mille ans plus tard, chacun se prépare à parcourir : laisser éclore la puissance créatrice du féminin, la Shekinah, lovée en chaque femme et en chaque homme.
Ava Torrent a puisé ses sources dans les travaux de plusieurs spécialistes. S’appuyant sur des années de recherches, dont l’étude des évangiles et d’écrits dits apocryphes (textes qui n’ont pas été retenus pour faire partie du canon biblique), elle propose ici une version audacieuse et tout à fait inédite de la vie de Marie. Ava associe avec talent le romanesque à l’historique et nous entraîne dans un fascinant récit, où lespersonnages féminins, trop souvent dévoyés, sont restitués dans leur véritable rôle.
Plonger dans l’histoire de Marie, cette femme profondément humaine, nous permet de porter un regard libérateur sur le passé, pour mieux comprendre le présent et accueillir le futur émergeant de notre 21e siècle. La force créatrice que représente la Shekinah pourrait bien y jouer un rôle fondamental.
Ava Torrent a puisé ses sources dans les travaux de plusieurs spécialistes. S’appuyant sur des années de recherches, dont l’étude des évangiles et d’écrits dits apocryphes (textes qui n’ont pas été retenus pour faire partie du canon biblique), elle propose ici une version audacieuse et tout à fait inédite de la vie de Marie. Ava associe avec talent le romanesque à l’historique et nous entraîne dans un fascinant récit, où lespersonnages féminins, trop souvent dévoyés, sont restitués dans leur véritable rôle.
Plonger dans l’histoire de Marie, cette femme profondément humaine, nous permet de porter un regard libérateur sur le passé, pour mieux comprendre le présent et accueillir le futur émergeant de notre 21e siècle. La force créatrice que représente la Shekinah pourrait bien y jouer un rôle fondamental.
Avant propos
Oser romancer un événement historique marquant pour notre culture occidentale – le chemin de vie de Marie, la mère de Jésus – fut un défi extraordinaire à relever. Je n’ai pas inventé l’histoire que vous êtes sur le point de découvrir. J’ai repris, assemblé et « habillé » des informations existantes afin de leur prêter une esthétique romantique, sobre et cohérente.
Ce roman est le fruit de plusieurs années de recherches basées sur l’étude des Évangiles et de multiples documents apocryphes (écrits antiques qui ont été tenus à l’écart du canon biblique, notamment lors du concile de Laodicée vers l’an 363 AD). En parallèle, je me suis laborieusement penchée sur les travaux de notables théologiens, philosophes, historiens des religions et mythologues (voir bibliographie en fin de livre). Ces libres penseurs ont émis des théories remarquablement inspirantes, qui se font écho et qui nous invitent à poser un regard vivant et novateur sur notre passé.
Trouver la voie du juste milieu entre des faits méconnus qui cherchent à émerger aujourd’hui dans nos consciences, et un profond respect pour la sapience des différentes Églises, fut un véritable exercice de funambulisme sur la corde raide qui sépare deux compréhensions de la vérité, deux perceptions du sens de la vie, deux structures de pensée. Forte de cette scrupuleuse intégrité, je me suis autorisée à explorer la possibilité que les femmes qui ont entouré et accompagné le Galiléen, voici deux mille ans, aient joué un rôle bien plus important que ce que les traditions ecclésiastiques nous suggèrent.
Le présent récit décrit le parcours initiatique et tellement humain d’une femme au destin extraordinaire, une femme qui a vécu au début de notre ère, en Palestine, une femme qui est restée dans l’ombre durant plus de deux millénaires, une femme dont on a oublié l’existence et refoulé le caractère sacré de la destinée, une femme, enfin, à qui la vie a confié unefascinante et éminente mission auprès de celui que beaucoup nomment le Messie. Cette femme est l’incarnation vivante de la Shekinah : la Mère Divine, le féminin sacré, la manifestation de la gloire de Dieu, la colombe qui représente le Saint-Esprit.
Ava
Ce roman est le fruit de plusieurs années de recherches basées sur l’étude des Évangiles et de multiples documents apocryphes (écrits antiques qui ont été tenus à l’écart du canon biblique, notamment lors du concile de Laodicée vers l’an 363 AD). En parallèle, je me suis laborieusement penchée sur les travaux de notables théologiens, philosophes, historiens des religions et mythologues (voir bibliographie en fin de livre). Ces libres penseurs ont émis des théories remarquablement inspirantes, qui se font écho et qui nous invitent à poser un regard vivant et novateur sur notre passé.
Trouver la voie du juste milieu entre des faits méconnus qui cherchent à émerger aujourd’hui dans nos consciences, et un profond respect pour la sapience des différentes Églises, fut un véritable exercice de funambulisme sur la corde raide qui sépare deux compréhensions de la vérité, deux perceptions du sens de la vie, deux structures de pensée. Forte de cette scrupuleuse intégrité, je me suis autorisée à explorer la possibilité que les femmes qui ont entouré et accompagné le Galiléen, voici deux mille ans, aient joué un rôle bien plus important que ce que les traditions ecclésiastiques nous suggèrent.
Le présent récit décrit le parcours initiatique et tellement humain d’une femme au destin extraordinaire, une femme qui a vécu au début de notre ère, en Palestine, une femme qui est restée dans l’ombre durant plus de deux millénaires, une femme dont on a oublié l’existence et refoulé le caractère sacré de la destinée, une femme, enfin, à qui la vie a confié unefascinante et éminente mission auprès de celui que beaucoup nomment le Messie. Cette femme est l’incarnation vivante de la Shekinah : la Mère Divine, le féminin sacré, la manifestation de la gloire de Dieu, la colombe qui représente le Saint-Esprit.
Ava
Au sujet de la Shekinah
Que veut dire la Shekinah ?
C’est un mot féminin de racine hébraïque qui fait référence à une notion très subtile. Il s’agit du concept divin de présence féminine. La sagesse. Le féminin sacré. La Déesse-Mère. La face féminine de Dieu. Le Souffle de vie. Le Saint-Esprit symbolisé par la colombe. La Mère des origines. La manifestation de la gloire de Dieu. La présence de Dieu. Elle est tout cela.
On la connaît aussi sous le nom de Boga Shakti, Sofia, Tiamat, Isis…
Je trouve que la Shekinah est un concept assez difficile à appréhender avec notre cerveau gauche, le cerveau du mental analytique. C’est pour cela que je propose une avalanche de définitions, j’espère qu’ainsi, chacun pourra trouver la formule qui convient à son cerveau droit, la partie féminine et intuitive, et ainsi ressentir intimement qui est vraiment la Shekinah.
Pourquoi ce livre sur Marie ?
Le Nouveau Testament est un ensemble d’écrits qui a fortement influencé le développement de notre culture occidentale. Mais la présence des femmes est largement passée sous silence. On ne parle des apôtres qu’au masculin. Pourquoi ? A-t-on cherché à effacer les traces de leur influence ? A l’époque, le savoir des femmes faisait-il peur ? Peut-être que leurs connaissances à propos de questions taboues telles que la fertilité, la sexualité, la guérison par les plantes, sans oublier de mentionner leur lien avec la nature, leur profonde compréhension des rituels sacrés marquant le rythme des saisons, leur intelligence intuitive et leur capacité à donner la vie, peut-être que tout cela représentait une trop grande menace pour l’ordre établi par une tradition patriarcale hiérarchisée et totalitaire. Je me suis posé la question : est-ce que les femmes ont joué un rôle bien plus important que ce que les traditions ecclésiastiques veulent bien nous laisser entendre ?
Je me suis donc mise au travail et j’ai consacré beaucoup de temps à la recherche afin de trouver des réponses à toutes ces questions. J’ai exploré des textes anciens, des codex antiques que l’on appelle apocryphes, je me suis penchée sur de nombreux ouvrages écrits par des théologiens, des philosophes, des mythologues, des historiens des religions, j’ai bien sûr étudié les évangiles. Finalement, j’ai choisi de présenter le résultat de mes recherches sous forme de roman parce que je crois qu’ainsi le message est beaucoup plus facilement assimilable.
Ma passion, c’est l’écriture, mais pour moi, un roman doit nécessairement avoir un sens profond, un message à faire passer. Le divertissement littéraire ne me suffit pas. Dans l’idéal, je voudrais que le récit puisse transmettre un savoir, ouvrir les cœurs et les consciences, inviter à la curiosité, proposer l’épanouissement, inspirer, libérer, faire rêver aussi… Faire rêver surtout. J’estime que le rêve est un fabuleux outil de développement, car c’est lui qui nous invite à quitter l’étroitesse de notre réalité, il nous ouvre les portes de l’inconnu et nous propose d’explorer les arcanes de l’inconscient. Une source inestimable de créativité.
Alors voilà, j’avais envie depuis très longtemps de proposer au lecteur de porter un regard nouveau sur le thème des femmes qui ont accompagné Jésus et de mettre en lumière le rôle prépondérant qu’elles ont très certainement joué.
Notre histoire est à la base de notre réalité, une vision tronquée de notre histoire nous empêche d’être au clair avec nous-mêmes aujourd’hui et d’accueillir sereinement le futur.
Pour vous, est-ce que Dieu est une femme ?
Pas du tout. Le divin est androgyne. Il est composé d’une face masculine et d’une face féminine. Comme nous les êtres humains d’ailleurs. La face féminine a été glorifiée dans les civilisations matriarcales du paléolithique supérieur jusqu’à peu près à la fin du néolithique (dès 30’000, voir même plus tôt, jusqu’à env. 3’000 av JC) souvent d’ailleurs au détriment du masculin. Ensuite, elle a été évincée et démonisée avec l’essor des civilisations patriarcales. Je crois que le moment est venu de réunir les principes masculin et féminin dans leur juste valeur. Ils sont complémentaires, l’un n’est rien sans l’autre…
La conception immaculée est-elle possible selon vous ?
Je crois que la parthénogenèse humaine (reproduction à partir d’un ovule non fécondé) a été possible à une époque très reculée. Pour la trouver, il nous faudrait remonter à une période archaïque lointaine où l’ancêtre de l’homme actuel n’avait pas la même constitution que l’homme d’aujourd’hui. Des études démontrent que les organes reproducteurs de la femme sont très anciens, plus anciens que ceux de l’homme et largement plus évolués. Le système reproducteur féminin a été l’une des premières choses que la nature a perfectionnées.
Donc autrefois, l’ancêtre de l’être humain aurait eu la capacité de s’autoféconder, comme le font aujourd’hui encore certaines races de lézards, de serpents, de poissons et d’insectes. Au fil des millénaires, ce procédé de reproduction s’est peu à peu perdu, sans toutefois tomber complètement dans l’oubli. Des sociétés secrètes antiques auraient continué de cultiver cet art de l‘engendrement et l’auraient exercé auprès de souveraines et personnages de haut lignage afin de leur permettre d’engendrer des êtres purs et nobles, capables de guider le commun des mortels. Cette pratique demandait un très haut degré de pureté et d’intégrité spirituelle ainsi qu’une réelle capacité à se mettre au service des autres. Tout cela fait partie des nombreux mystères de la vie qui se sont effacés de notre mémoire.
Quel est votre rapport avec la religion ?
La spiritualité fait partie intégrante de ma vie. Cependant, je ne crois pas avoir besoin d’un intermédiaire pour entrer en contact avec le divin, que ce soit un prêtre, un gourou, un guide ou un maître à penser… Cela implique une notion de séparation, de coupure, d’indignité humaine qui ne résonne pas du tout chez moi. Les religions organisées ont certainement eu leur raison d’être dans le passé, mais aujourd’hui je crois que ce n’est plus vraiment dans l’air du temps. Franchement, deux mille ans de culpabilité, de menaces, de peur de la punition, de conviction de n’être que de pauvres pécheurs indignes et repentants, c’est peut-être assez, non ? Le moment me semble venu de se tourner vers une autre vérité, de se dépasser soi-même et de découvrir le sacré. Je devrais plutôt dire de redécouvrir le sacré, car je suis convaincue que nous sommes tous divins. Je crois au principe de l’immanence. Une étincelle divine vit et vibre à l’intérieur de chacun, elle est là, elle est omniprésente dans toute forme de vie, et ne demande qu’à se manifester. La responsabilité revient à chacun de rétablir le contact avec cette dimension perdue, dans le respect de soi-même et de l’autre et donc forcément dans le respect des lois universelles qui en découlent.
De quelles lois universelles parlez-vous ?
De principes de vie qui résonnent beaucoup en moi, comme :
… pour n’en citer que quelques-unes.
Le récit de la Shekinah n’entre-t-il pas en contradiction avec les Évangiles ?
Non ! Et c’est cela qui est fascinant. Tout est une question d’interprétation et de compréhension des écritures. Des quatre Évangiles, seuls ceux de Matthieu[1] et de Luc[2] décrivent la naissance de Jésus. Les Évangiles selon Marc et Jean ne commencent qu’à la période du baptême de Jésus dans le Jourdain, soit autour de ses trente ans. Seul Luc fait allusion à l’épisode du temple lorsque Jésus a douze ans.
Bien qu’il y ait d’évidentes similitudes (la mère s’appelle Marie et le père Joseph, l’enfant s’appelle Jésus et naît à Bethléem), une lecture attentive des Évangiles selon Matthieu et Luc pourrait laisser penser qu’on raconte deux histoires qui ne sont pas complémentaires, mais différentes : les personnages ne peuvent pas être les descendants à la fois de Salomon, la lignée des rois (Évangile de Matthieu), et de Nathan, la lignée des prêtres (Évangile de Luc) ; ils ne peuvent pas être en même temps en Égypte (Évangile de Matthieu) et à Nazareth (Évangile de Luc). Il est également important de relever qu’à l’époque, environ la moitié des femmes s’appelaient Marie et que les prénoms de Joseph et Jésus étaient également très courants. Il n’est donc pas étonnant de les retrouver tous les trois dans une famille.
Ainsi donc, ne sommes-nous pas en droit d’émettre l’hypothèse que peut-être deux enfants différents ont existé, nés de pères et de mères différentes, avec une personnalité différente et une origine différente ? Et si la destinée de ces deux familles devait les réunir dans un but très précis ?
Dans ce roman, l’histoire de Yeshua (Jésus), de Maryam (Marie) et de Yoseph (Joseph) est donc librement inspirée de l’Évangile selon Matthieu alors que celle de Jésus, de Marie et de Joseph est librement inspirée de l’Évangile selon Luc.
[1]Mt 1.1 à 2.23
[2]Lc 1.26 à 3.38
D’où tirez-vous les informations qui ont inspiré la Shekinah ?
Le roman la Shekinah, Mère des Origines, est basé sur l’étude de quatre grandes catégories de textes :
1. D’abord, il y a bien sûr les textes bibliques composés du:
3.- Passons ensuite aux œuvres plus modernes de philosophes, théologiens, chercheurs, historiens des religions ou mythologues tels que Rudolf Steiner, Jean-Yves Leloup, Emile Bock, Mircea Eliade, Jacqueline Kelen, Daniel Meurois, Anton Parks, Merlin Stone, Riane Eisler – pour n’en citer que quelques-uns. Ces personnes ont largement oeuvré pour nous encourager à porter un regard tout frais, tout neuf, sur notre passé.
4.- Pour terminer, citons la catégorie des grands mystiques. J’évoquerai ici Edgar Cayce, Katherine Emmerich et Maria Valtorta. Leurs interventions nous ont également apporté de très précieuses informations sur la vie de Jésus et sur son entourage.
La littérature sérieuse ne manque vraiment pas. De nos jours, elle est là, à portée de mains, il suffit de s’y intéresser pour la trouver.
Il me semble important de souligner, que chacun est libre de prendre comme il le veut les informations présentées dans « la Shekinah » et de ressentir intérieurement si tout cela résonne en lui ou pas. N’oublions pas que personne ne sait objectivement comment les faits se sont véritablement déroulés il y a deux mille ans… Dans le roman « la Shekinah », je propose de porter un regard nouveau sur notre passé, pour mieux comprendre le présent et accueillir le futur émergeant qui s’offre à nous.
C’est un mot féminin de racine hébraïque qui fait référence à une notion très subtile. Il s’agit du concept divin de présence féminine. La sagesse. Le féminin sacré. La Déesse-Mère. La face féminine de Dieu. Le Souffle de vie. Le Saint-Esprit symbolisé par la colombe. La Mère des origines. La manifestation de la gloire de Dieu. La présence de Dieu. Elle est tout cela.
On la connaît aussi sous le nom de Boga Shakti, Sofia, Tiamat, Isis…
Je trouve que la Shekinah est un concept assez difficile à appréhender avec notre cerveau gauche, le cerveau du mental analytique. C’est pour cela que je propose une avalanche de définitions, j’espère qu’ainsi, chacun pourra trouver la formule qui convient à son cerveau droit, la partie féminine et intuitive, et ainsi ressentir intimement qui est vraiment la Shekinah.
Pourquoi ce livre sur Marie ?
Le Nouveau Testament est un ensemble d’écrits qui a fortement influencé le développement de notre culture occidentale. Mais la présence des femmes est largement passée sous silence. On ne parle des apôtres qu’au masculin. Pourquoi ? A-t-on cherché à effacer les traces de leur influence ? A l’époque, le savoir des femmes faisait-il peur ? Peut-être que leurs connaissances à propos de questions taboues telles que la fertilité, la sexualité, la guérison par les plantes, sans oublier de mentionner leur lien avec la nature, leur profonde compréhension des rituels sacrés marquant le rythme des saisons, leur intelligence intuitive et leur capacité à donner la vie, peut-être que tout cela représentait une trop grande menace pour l’ordre établi par une tradition patriarcale hiérarchisée et totalitaire. Je me suis posé la question : est-ce que les femmes ont joué un rôle bien plus important que ce que les traditions ecclésiastiques veulent bien nous laisser entendre ?
Je me suis donc mise au travail et j’ai consacré beaucoup de temps à la recherche afin de trouver des réponses à toutes ces questions. J’ai exploré des textes anciens, des codex antiques que l’on appelle apocryphes, je me suis penchée sur de nombreux ouvrages écrits par des théologiens, des philosophes, des mythologues, des historiens des religions, j’ai bien sûr étudié les évangiles. Finalement, j’ai choisi de présenter le résultat de mes recherches sous forme de roman parce que je crois qu’ainsi le message est beaucoup plus facilement assimilable.
Ma passion, c’est l’écriture, mais pour moi, un roman doit nécessairement avoir un sens profond, un message à faire passer. Le divertissement littéraire ne me suffit pas. Dans l’idéal, je voudrais que le récit puisse transmettre un savoir, ouvrir les cœurs et les consciences, inviter à la curiosité, proposer l’épanouissement, inspirer, libérer, faire rêver aussi… Faire rêver surtout. J’estime que le rêve est un fabuleux outil de développement, car c’est lui qui nous invite à quitter l’étroitesse de notre réalité, il nous ouvre les portes de l’inconnu et nous propose d’explorer les arcanes de l’inconscient. Une source inestimable de créativité.
Alors voilà, j’avais envie depuis très longtemps de proposer au lecteur de porter un regard nouveau sur le thème des femmes qui ont accompagné Jésus et de mettre en lumière le rôle prépondérant qu’elles ont très certainement joué.
Notre histoire est à la base de notre réalité, une vision tronquée de notre histoire nous empêche d’être au clair avec nous-mêmes aujourd’hui et d’accueillir sereinement le futur.
Pour vous, est-ce que Dieu est une femme ?
Pas du tout. Le divin est androgyne. Il est composé d’une face masculine et d’une face féminine. Comme nous les êtres humains d’ailleurs. La face féminine a été glorifiée dans les civilisations matriarcales du paléolithique supérieur jusqu’à peu près à la fin du néolithique (dès 30’000, voir même plus tôt, jusqu’à env. 3’000 av JC) souvent d’ailleurs au détriment du masculin. Ensuite, elle a été évincée et démonisée avec l’essor des civilisations patriarcales. Je crois que le moment est venu de réunir les principes masculin et féminin dans leur juste valeur. Ils sont complémentaires, l’un n’est rien sans l’autre…
La conception immaculée est-elle possible selon vous ?
Je crois que la parthénogenèse humaine (reproduction à partir d’un ovule non fécondé) a été possible à une époque très reculée. Pour la trouver, il nous faudrait remonter à une période archaïque lointaine où l’ancêtre de l’homme actuel n’avait pas la même constitution que l’homme d’aujourd’hui. Des études démontrent que les organes reproducteurs de la femme sont très anciens, plus anciens que ceux de l’homme et largement plus évolués. Le système reproducteur féminin a été l’une des premières choses que la nature a perfectionnées.
Donc autrefois, l’ancêtre de l’être humain aurait eu la capacité de s’autoféconder, comme le font aujourd’hui encore certaines races de lézards, de serpents, de poissons et d’insectes. Au fil des millénaires, ce procédé de reproduction s’est peu à peu perdu, sans toutefois tomber complètement dans l’oubli. Des sociétés secrètes antiques auraient continué de cultiver cet art de l‘engendrement et l’auraient exercé auprès de souveraines et personnages de haut lignage afin de leur permettre d’engendrer des êtres purs et nobles, capables de guider le commun des mortels. Cette pratique demandait un très haut degré de pureté et d’intégrité spirituelle ainsi qu’une réelle capacité à se mettre au service des autres. Tout cela fait partie des nombreux mystères de la vie qui se sont effacés de notre mémoire.
Quel est votre rapport avec la religion ?
La spiritualité fait partie intégrante de ma vie. Cependant, je ne crois pas avoir besoin d’un intermédiaire pour entrer en contact avec le divin, que ce soit un prêtre, un gourou, un guide ou un maître à penser… Cela implique une notion de séparation, de coupure, d’indignité humaine qui ne résonne pas du tout chez moi. Les religions organisées ont certainement eu leur raison d’être dans le passé, mais aujourd’hui je crois que ce n’est plus vraiment dans l’air du temps. Franchement, deux mille ans de culpabilité, de menaces, de peur de la punition, de conviction de n’être que de pauvres pécheurs indignes et repentants, c’est peut-être assez, non ? Le moment me semble venu de se tourner vers une autre vérité, de se dépasser soi-même et de découvrir le sacré. Je devrais plutôt dire de redécouvrir le sacré, car je suis convaincue que nous sommes tous divins. Je crois au principe de l’immanence. Une étincelle divine vit et vibre à l’intérieur de chacun, elle est là, elle est omniprésente dans toute forme de vie, et ne demande qu’à se manifester. La responsabilité revient à chacun de rétablir le contact avec cette dimension perdue, dans le respect de soi-même et de l’autre et donc forcément dans le respect des lois universelles qui en découlent.
De quelles lois universelles parlez-vous ?
De principes de vie qui résonnent beaucoup en moi, comme :
- S’aimer soi-même.
- Aimer les autres.
- Aimer la terre et la nature et la respecter.
- Aimer la vie.
- Se mettre au service d’autrui plutôt qu’au service de soi.
- Être conscient de la notion d’Unité, nous ne faisons qu’Un, tout est relié et interdépendant.
- Être conscient du phénomène de la cocréation et en prendre la responsabilité. Assumer la puissance de nos pensées, paroles et action.
… pour n’en citer que quelques-unes.
Le récit de la Shekinah n’entre-t-il pas en contradiction avec les Évangiles ?
Non ! Et c’est cela qui est fascinant. Tout est une question d’interprétation et de compréhension des écritures. Des quatre Évangiles, seuls ceux de Matthieu[1] et de Luc[2] décrivent la naissance de Jésus. Les Évangiles selon Marc et Jean ne commencent qu’à la période du baptême de Jésus dans le Jourdain, soit autour de ses trente ans. Seul Luc fait allusion à l’épisode du temple lorsque Jésus a douze ans.
Bien qu’il y ait d’évidentes similitudes (la mère s’appelle Marie et le père Joseph, l’enfant s’appelle Jésus et naît à Bethléem), une lecture attentive des Évangiles selon Matthieu et Luc pourrait laisser penser qu’on raconte deux histoires qui ne sont pas complémentaires, mais différentes : les personnages ne peuvent pas être les descendants à la fois de Salomon, la lignée des rois (Évangile de Matthieu), et de Nathan, la lignée des prêtres (Évangile de Luc) ; ils ne peuvent pas être en même temps en Égypte (Évangile de Matthieu) et à Nazareth (Évangile de Luc). Il est également important de relever qu’à l’époque, environ la moitié des femmes s’appelaient Marie et que les prénoms de Joseph et Jésus étaient également très courants. Il n’est donc pas étonnant de les retrouver tous les trois dans une famille.
Ainsi donc, ne sommes-nous pas en droit d’émettre l’hypothèse que peut-être deux enfants différents ont existé, nés de pères et de mères différentes, avec une personnalité différente et une origine différente ? Et si la destinée de ces deux familles devait les réunir dans un but très précis ?
Dans ce roman, l’histoire de Yeshua (Jésus), de Maryam (Marie) et de Yoseph (Joseph) est donc librement inspirée de l’Évangile selon Matthieu alors que celle de Jésus, de Marie et de Joseph est librement inspirée de l’Évangile selon Luc.
[1]Mt 1.1 à 2.23
[2]Lc 1.26 à 3.38
D’où tirez-vous les informations qui ont inspiré la Shekinah ?
Le roman la Shekinah, Mère des Origines, est basé sur l’étude de quatre grandes catégories de textes :
1. D’abord, il y a bien sûr les textes bibliques composés du:
- canon de la bible hébraïque ou l’Ancien Testament rédigé environ entre le 7e et le 2e siècle avant notre ère,
- Nouveau Testament dont j’ai tout particulièrement étudié les quatre évangiles, ceux de Matthieu, Luc, Marc et Jean.
- La bibliothèque copte de Nag Hammadi découvert par des paysans, en 1945, dans la ville de Nag Hammadi en Égypte, au nord-ouest de Louxor. Ces codex étaient dissimulés dans de grandes jarres, on y trouve 13 volumes écrits sur papyrus comportant au total 55 traités. Ils auraient été rédigés entre le 3eet le 5esiècle de notre ère par des auteurs inconnus. La majorité de ces textes sont gnostiques, mis à part trois écrits issus de la tradition hermétique, et une traduction partielle de « la République » de Platon. Ici, les textes qui ont particulièrement retenu mon attention sont l’Évangile selon Thomas et l’Évangile selon Philippe.
- Le codex de Londres – mieux connu sous le nom de Pistis-Sophia – est un texte écrit par un Grec d’Égypte vers l’an 330 de notre ère. Le manuscrit de 348 pages a d’abord fait partie des acquis d’un médecin anglais, collectionneur de textes antiques, avant d’être repris par le British Museum. Vers le milieu du 19esiècle, un orientaliste français le découvre et le fait traduire en latin. La Pistis Sophia est un texte gnostique qui raconte par la bouche de Jésus-Christ, la vieille légende de Pistis-Sophia, l’entité féminine responsable de la création de notre Monde.
- Le codex de Berlin, découvert en Haute-Égypte, acquis par le Musée de Berlin en 1896 est un papyrus écrit en copte. Ce codex comprend entre autres l’Apocryphon de Jean – l’Évangile selon Marie et La Sagesse de Jésus-Christ.
- Les rouleaux de la mer morte quant à eux ne proviennent pas d’Égypte. Ils ont été découverts en 1947 à Qumram, sur les bords de la mer Morte, et comportent plus de 900 manuscrits, fragments ou parties de rouleaux. Certains les attribuent aux esséniens, mais on ne peut en être vraiment sûrs, les preuves manquent encore. Ils pourraient tout aussi bien avoir été écrits puis cachés par des membres du clergé de Jérusalem qui étaient en désaccord avec le judaïsme officiel. Cette version des faits indique que le développement de la pensée théologique du judaïsme, et donc la création du canon biblique, n’était pas du tout homogène et que les affrontements théologiques étaient importants.
- Et enfin, dans cette catégorie de documents anciens, citons également Le Zohar, le livre de la splendeur, qui est une oeuvre maîtresse de la kabbale. Ce document a été rédigé en araméen par un rabbin au II siècle de notre ère.
3.- Passons ensuite aux œuvres plus modernes de philosophes, théologiens, chercheurs, historiens des religions ou mythologues tels que Rudolf Steiner, Jean-Yves Leloup, Emile Bock, Mircea Eliade, Jacqueline Kelen, Daniel Meurois, Anton Parks, Merlin Stone, Riane Eisler – pour n’en citer que quelques-uns. Ces personnes ont largement oeuvré pour nous encourager à porter un regard tout frais, tout neuf, sur notre passé.
4.- Pour terminer, citons la catégorie des grands mystiques. J’évoquerai ici Edgar Cayce, Katherine Emmerich et Maria Valtorta. Leurs interventions nous ont également apporté de très précieuses informations sur la vie de Jésus et sur son entourage.
La littérature sérieuse ne manque vraiment pas. De nos jours, elle est là, à portée de mains, il suffit de s’y intéresser pour la trouver.
Il me semble important de souligner, que chacun est libre de prendre comme il le veut les informations présentées dans « la Shekinah » et de ressentir intérieurement si tout cela résonne en lui ou pas. N’oublions pas que personne ne sait objectivement comment les faits se sont véritablement déroulés il y a deux mille ans… Dans le roman « la Shekinah », je propose de porter un regard nouveau sur notre passé, pour mieux comprendre le présent et accueillir le futur émergeant qui s’offre à nous.
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Commentaires des lectrices et lecteurs de la Shekinah
Plus le temps passe, plus je m'émerveille de la Vie.
Sur les conseils d'une amie j'ai lu le premier livre de votre trilogie, la Shekinah.
J'ai été bouleversée et fascinée par ce livre qui m'a immédiatement donné envie de lire les deux suivants. Je ne les ai pas dévorés, je les ai dégustés, savourés, ralentissant parfois ma lecture pour que ça ne se termine pas trop vite mais aussi pour écouter les ressentis que certains passages faisaient naître en moi.
Vous avez réussi, avec vos trois livres, à me redonner envie de croire à une histoire qu'on m'avait racontée enfant, cette histoire qui sonnait faux à mes oreilles et à mon coeur.
Vous m'avez redonné envie de chercher plus loin que ce que l'on nous impose, de chercher ma propre vérité.
Avec votre façon d'écrire, de décrire, de nous faire vivre avec vos personnages (et quels personnages... 😊) j'ai fait un voyage fabuleux, magnifique, extraordinaire. J'ai senti l'odeur des galettes, la douceur du miel, la chaleur du désert mais surtout, surtout, j' ai senti l'Amour...
Et pour tout cela j'aimerais vous dire MERCI MERCI MERCI 🙏
A.L.
Sur les conseils d'une amie j'ai lu le premier livre de votre trilogie, la Shekinah.
J'ai été bouleversée et fascinée par ce livre qui m'a immédiatement donné envie de lire les deux suivants. Je ne les ai pas dévorés, je les ai dégustés, savourés, ralentissant parfois ma lecture pour que ça ne se termine pas trop vite mais aussi pour écouter les ressentis que certains passages faisaient naître en moi.
Vous avez réussi, avec vos trois livres, à me redonner envie de croire à une histoire qu'on m'avait racontée enfant, cette histoire qui sonnait faux à mes oreilles et à mon coeur.
Vous m'avez redonné envie de chercher plus loin que ce que l'on nous impose, de chercher ma propre vérité.
Avec votre façon d'écrire, de décrire, de nous faire vivre avec vos personnages (et quels personnages... 😊) j'ai fait un voyage fabuleux, magnifique, extraordinaire. J'ai senti l'odeur des galettes, la douceur du miel, la chaleur du désert mais surtout, surtout, j' ai senti l'Amour...
Et pour tout cela j'aimerais vous dire MERCI MERCI MERCI 🙏
A.L.
Imaginez un livre porteur d’un enseignement spirituel d’une profonde sagesse qui vous touche et vous inspire, un roman à suspens qui vous tient en haleine, un roman historique qui vous transporte en Palestine à l’époque de Jésus avec ses paysages, ses couleurs et ses parfums, une saga familiale qui vous fait partager la vie d’une famille hors du commun et une histoire d’amour extraordinaire qui vous touche profondément… et bien « La Shekinah » est tout cela la fois.
Magazine Sacrée Planète
Magazine Sacrée Planète
J’ai infusé les derniers mots de la Shekinah c’est si bon....❣️
Tes mots m’ont touchée au plus profond de mon être ☀️
J’ai grandi à travers une éducation athée et bien que J’aie suivi quelques cours de cathéchisme je n’ai jamais rien retenu ... ça ne me parlait pas du tout!
J’ai pourtant toujours été attirée par la spiritualité!
Cette histoire m’a bouleversée! J’ai tellement aimé l’humanité, la puissance, l’humilité, la féminité, la simplicité,.... de Maryam et Marie
Merci Ava de m’avoir fait découvrir cette merveilleuse histoire!
Elle est très inspirante 💗
Je me réjouis de lire la suite!
C.
Tes mots m’ont touchée au plus profond de mon être ☀️
J’ai grandi à travers une éducation athée et bien que J’aie suivi quelques cours de cathéchisme je n’ai jamais rien retenu ... ça ne me parlait pas du tout!
J’ai pourtant toujours été attirée par la spiritualité!
Cette histoire m’a bouleversée! J’ai tellement aimé l’humanité, la puissance, l’humilité, la féminité, la simplicité,.... de Maryam et Marie
Merci Ava de m’avoir fait découvrir cette merveilleuse histoire!
Elle est très inspirante 💗
Je me réjouis de lire la suite!
C.
Votre ouvrage très vibratoire m'a beaucoup touchée : je crois qu'il a littéralement bouleversé mon cœur et mon âme. J'y ai lu un message différent pour de nombreuses femmes de mon entourage. J'y ai perçu l'énergie du père-mère et j'ai retrouvé en moi le chemin de la joie. Je vous remercie et je rends grâce aux êtres de lumière qui vous ont guidée dans votre travail d'écriture.
S.
S.
La Shekinah: un livre initiatique pour les femmes et les hommes en chemin....une oeuvre exceptionnelle où chaque ligne nous invite à réfléchir profondément sur nous mêmes et au sens de notre vie....d'une grande beauté
Cliquer ici pour modifier.
S.
Cliquer ici pour modifier.
S.
Je souhaite vous remercier infiniment pour le magnifique ouvrage que vous nous avez offert. Une fois commencé, je n’ai pas pu le quitter. Il m’a émue, touchée, inspirée, informée et transformée. J’ai ri, pleuré, découvert, voyagé et rêvé et il m’a offert des clefs précieuses qui m’ont permis d’assembler des pièces de puzzle éparses.
M.L.
M.L.
Je viens de finir la Shekinah : magnifique, bravo … plongé dans une histoire qui parle à mes cellules avec la chair de poule à la fin … super bien écrit et construit … incroyable ! Magique ??
C.
C.
Ce livre est absolument MAGNIFIQUE ! Je dirais même Merveilleux au sens le plus profond du terme.Je me suis surprise à avoir le sourire aux lèvres à plusieurs reprises, lorsque j’ai dû reposer le livre entre deux moments de lecture, tellement la manière de rechercher le positif de chaque instant est inspirant. Ava nous montre encore une fois que le fameux « lâcher prise » est difficile à atteindre mais est le seul moyen de s’en sortir. Ce livre nous donne de la force.
A.
A.
Les mots choisis, les ambiances, les couleurs nous interpellent ! D’une beauté, sensible, profonde… l’histoire, n’en demeure pas moins saisissante… Nous restons charmés, concernés… plus qu’un essai , ce récit se transforme en Oeuvre d’Art … magique ! Quel talent !
Ava Torrent nous surprend de son écriture inspirée …
merci !
D.
Ava Torrent nous surprend de son écriture inspirée …
merci !
D.
J’ai été très touché par La Shekinah, témoignage extraordinaire, qui sort de l ‘ ordinaire. L’auteur « en connait un bout », c’est sérieux. Je respecte énormément son intuition non pas en terme de Vérité ( Dans ce domaine il n y a pas de vérité factuelle ) mais en terme de Possible. Ce propos raisonne en moi. J’aime l’approche féminine et la révélation de toute sa potentialité. J’ignore comment Ava va poursuivre son histoire mais ce qui me semble intéressant c’est, peut être, aussi que le Christ et l’ante-Christ ou que Jesus et Jude ou Juda sont partiellement de même nature. Je pensais qu’elle arriverait sur ce terrain plus tôt.Le style du livre d’Ava Torrent, un peu doucereux, un peu trop long et d’une gentillesse « un peu trop new age » n’enlève en rien au fonds honnête et poétique de la réflexion et de la démarche.
Merci de m’avoir fait découvrir cette vision de vie. Ca fait du bien.
F.
Merci de m’avoir fait découvrir cette vision de vie. Ca fait du bien.
F.
J’ai carrément dévoré La Shekinah en 3 jours….. j’ai A D O R E….….Je me suis plongée avec passion dans ce roman qui m’a remuée et beaucoup touchée. Tout au long de ce magnifique et émouvant voyage avec Maryam, j’ai découvert une femme lumineuse, dont le rayonnement irradie toutes les personnes qui la côtoient. Sa foi alimente une force intérieure qui la porte et l’aide à surmonter tous les obstacles que la vie lui réserve. Ce récit époustouflant m’a réconciliée avec la religion et m’a permis d’apporter un autre regard beaucoup plus profond et plus en phase avec mes convictions.L’écriture en elle-même est fluide, et on se laisse inspirer par les descriptions des lieux, des personnes et par l’ambiance évoquée…. je sentais cette sérénité que dégageait Maryam et j’étais enveloppée par son aura…. Je me suis sentie si bien que j’aurais voulu prolonger encore en la lecture….Merci de nous faire partager, dans ce sublime livre, le fruit de tes recherches passionnées….Je suis très impatiente de découvrir le 2ème volume de cette trilogie.
F.
F.
J’ai dévoré Le livre La Shekinah qui tombait à pic, nous avons eu trop de deuil et douleur autour de nous à Noël.Très sceptique et éloignée de l’église que je suis, le livre m’a presqu’un peu réconcilié avec la pratique religieuse, réalisant que mes méditations matinales à la lueur d’une bougie odorante particulière ne sont finalement pas très différentes…
A.
A.
Merciiiiiii Ava pour ton livre, la Shekinah. Je l’ai lu avec délice le week-end de Pâques et l’ai laissé cheminé en moi depuis ce quelques semaines car il arrive à un moment tout à fait spécial de ma vie et aujourd’hui est un jour particulier. Il me permet toute une réconciliation intérieure. J’ai ramené hier de chez mes parents (de leur ancienne maison que j’ai vidée récemment avec mon frère) une statue de Marie à laquelle ma mère tenait beaucoup. J’étais toute partagée depuis quelques mois pour à la fois respecter la mémoire de ma mère, le cadeau que ma grand mère (sa mère) lui avait fait, et à la fois par un trouble en moi par rapport à l’histoire racontée « officiellement ». Ton livre m’a réconciliée et me permet d’accueillir cette statue chez moi, joyeusement, car l’histoire que tu racontes vibre de justesse en moi. En lisant ton livre, j’ai « vu » Marie chez moi, à l’endroit où, en fend shui, si situe la lignée maternelle. Un vrai cadeau cette vision, merci ! Alors, aujourd’hui j’irai chercher cette statue qui est encore dans ma voiture et je l’installerai là au cours d’un rituel. Mes filles seront avec moi et sans doute seras-tu toi aussi un peu avec moi.
Gratitude à toi.
Efféa
Gratitude à toi.
Efféa
J’ai reçu La Shekinah la semaine dernière.
Sa lecture est un précieux baume pour mon cœur qui vit des émotions assez intenses en ce moment.
Alors je voulais juste vous dire merci, un grand merci pour “m’accompagner” sur ce de déconnexion à la Shekinah, à qui Je Suis simplement.
Ava, je vous souhaite ce à quoi votre cœur aspire,
L.
Sa lecture est un précieux baume pour mon cœur qui vit des émotions assez intenses en ce moment.
Alors je voulais juste vous dire merci, un grand merci pour “m’accompagner” sur ce de déconnexion à la Shekinah, à qui Je Suis simplement.
Ava, je vous souhaite ce à quoi votre cœur aspire,
L.
J’ai fini La Shekinah qui m’a transportée par moment et amenée à une intériorité à d’autres. Bravo je me réjouis de lire la suite.?
V.
V.
Je suis profondément touchée par la lecture de La Shekinah, rebel et original, que je finis à l’instant à l’autre bout du monde. Je suis persuadée que les valeurs profondes de l’écoute et de la solidarité apporteront leur part, sauront laisser une marque et des changements durables.
Merci pour cette belle découverte.
M.
Merci pour cette belle découverte.
M.
J’ai passé des très bons moments à la lecture de La Shekinah. C’est prenant et l’histoire est captivante au point que le besoin d’avancer se faisait sentir tout le temps.
En plus, il y a tout ce qui est dans le contexte de l’histoire: La découverte pour moi d’un pays, d’une société, des rencontres et du contexte de tout ce qu’on ne sait pas sur les débuts de l’histoire chrétienne que tu mets en scène de façon intrigante et pleine de surprises. Cela m’a beaucoup intéressé.
On fait la découverte de cette force qui s’impose au caractère de Maryam pour l’amener malgré toutes les vicissitudes de sa vie à une perpétuelle recherche d’évolution et d’acceptation. Cela lui permet de s’élever petit à petit dans sa spiritualité. Elle avance dans une conduite édifiante et pleine d’une humanité exemplaire. C’est véritablement inspirant.
Et puis, il y a toute la richesse des mots, les sensations, les perceptions suggérées dans les relations. Tout cela est amené avec un style très fluide. C’est un monde à découvrir.
Je le termine en me réjouissant de la suite, bravo et merci.
P.
En plus, il y a tout ce qui est dans le contexte de l’histoire: La découverte pour moi d’un pays, d’une société, des rencontres et du contexte de tout ce qu’on ne sait pas sur les débuts de l’histoire chrétienne que tu mets en scène de façon intrigante et pleine de surprises. Cela m’a beaucoup intéressé.
On fait la découverte de cette force qui s’impose au caractère de Maryam pour l’amener malgré toutes les vicissitudes de sa vie à une perpétuelle recherche d’évolution et d’acceptation. Cela lui permet de s’élever petit à petit dans sa spiritualité. Elle avance dans une conduite édifiante et pleine d’une humanité exemplaire. C’est véritablement inspirant.
Et puis, il y a toute la richesse des mots, les sensations, les perceptions suggérées dans les relations. Tout cela est amené avec un style très fluide. C’est un monde à découvrir.
Je le termine en me réjouissant de la suite, bravo et merci.
P.
J’en suis à la page 317 et chaque nuit je rallume la lumière pour dévorer quelques pages de plus… merci Ava. Magnifique parcours initiatique.
D.
D.
J’ai fini la lecture de ce livre qui m’a passionné ! J’ai beaucoup aimé la façon d’écrire d’Ava qui permet de faire vivre cette époque en nous permettant de visualiser et ressentir avec tous les détails que tu donnes.J’ai surtout aimé son approche spirituelle !! Cela correspond à ma vision de la foi et m’a apporté de quoi approfondir ma propre spiritualité et me conforter sur mon chemin !!
Donc je le relirais avec grand plaisir et me réjouis de livre la suite !!
S.
Donc je le relirais avec grand plaisir et me réjouis de livre la suite !!
S.
Ce livre est magnifique. … c’est difficile d’éteindre la lumière le soir. … je me réjouis de la suite. ..je vais continuer à le déguster. Merci .
A.
A.
Je me délecte du livre d’Ava.
J’en ai pris deux de plus pour les offrir la semaine prochaine à ma fille et à ma jeune collègue.
Merci !!!!
C.
J’en ai pris deux de plus pour les offrir la semaine prochaine à ma fille et à ma jeune collègue.
Merci !!!!
C.
Très original, intéressant et fort bien documenté…
Pour un autre regard , bien plus large, sur les origines de la chrétienté et le rôle de la femme et du féminin sacré dans la spiritualité..
Je recommande chaudement, j’ai lu ce premier volume en moins de deux jours avec beaucoup de plaisir
F.
Pour un autre regard , bien plus large, sur les origines de la chrétienté et le rôle de la femme et du féminin sacré dans la spiritualité..
Je recommande chaudement, j’ai lu ce premier volume en moins de deux jours avec beaucoup de plaisir
F.
Je viens de finir La Shekinah. C’est merveilleux ! Unique. Passionnant. Inspirant.
Ava Torrent a développé un style extraordinaire, à la fois riche en nuances et simple – pas de phrases longues avec des mots ronflants et creux; et surtout elle imprime une dynamique au texte tout à fait unique.
Sa façon de faire parfois des phrases très courtes, un seul mot même, donne de la percussion et de la richesse à l’expression.
On est pris par le livre et on n’a plus envie de le lâcher ; et on finit par le dévorer en quelques heures.
On est déjà très impatient de lire le suivant…
Quant au fond, j’y ai retrouvé toutes les notions essentielles à l’accomplissement d’une « vraie » vie : de la nécessité de prendre du temps pour la prière et la méditation au lâcher-prise, du bienfait du jeûne à la qualité de l’écoute, de la recherche de la lumière à l’intérieur de soi plutôt qu’ailleurs, etc., etc.
Rafraichissant et inspirant. Encore davantage pour moi qui ai besoin de relire ou d’entendre à nouveau ces vérités régulièrement.
La trame originale reste mystérieuse jusqu’à ce qu’on lise le « Lien avec les Évangiles » qui l’a rend très crédible.
On se rend compte du travail de recherche, juste énorme, sous-jacent à ce livre. Félicitations !
En fin de compte, ce que je devrais dire, c’est : merci Ava ! Merci de partager avec le lecteur, le fruit de tes recherches, de tes convictions, de ta sagesse. C’est très rare, évidemment, et c’est très précieux. Merci!
J.P.
Ava Torrent a développé un style extraordinaire, à la fois riche en nuances et simple – pas de phrases longues avec des mots ronflants et creux; et surtout elle imprime une dynamique au texte tout à fait unique.
Sa façon de faire parfois des phrases très courtes, un seul mot même, donne de la percussion et de la richesse à l’expression.
On est pris par le livre et on n’a plus envie de le lâcher ; et on finit par le dévorer en quelques heures.
On est déjà très impatient de lire le suivant…
Quant au fond, j’y ai retrouvé toutes les notions essentielles à l’accomplissement d’une « vraie » vie : de la nécessité de prendre du temps pour la prière et la méditation au lâcher-prise, du bienfait du jeûne à la qualité de l’écoute, de la recherche de la lumière à l’intérieur de soi plutôt qu’ailleurs, etc., etc.
Rafraichissant et inspirant. Encore davantage pour moi qui ai besoin de relire ou d’entendre à nouveau ces vérités régulièrement.
La trame originale reste mystérieuse jusqu’à ce qu’on lise le « Lien avec les Évangiles » qui l’a rend très crédible.
On se rend compte du travail de recherche, juste énorme, sous-jacent à ce livre. Félicitations !
En fin de compte, ce que je devrais dire, c’est : merci Ava ! Merci de partager avec le lecteur, le fruit de tes recherches, de tes convictions, de ta sagesse. C’est très rare, évidemment, et c’est très précieux. Merci!
J.P.
Me voici pour vous donner un retour de ma lecture de la Shekinah.
J’ai pris quelques temps avant de vous écrire, afin de laisser l’empreinte de votre ouvrage s’établir en moi et m’habiter pleinement. Ces derniers mots reflètent vraiment la manière dont la Shekinah a résonné en moi. J’ai pu percevoir à travers vos mots, via cette sensibilité si bien imprégnée dans le texte, cette vibration, celle de « ma famille », ma famille d’âmes. Oui grâce à la grande subtilité de votre transmission, j’ai pu ressentir « là où j’appartiens ». Quelle grâce !! C’est un grand cadeau que vous m’avez fait.
Pour moi, les mots « subtilité » et « sensibilité » donnent un juste retour de votre travail. Merci d’avoir oeuvré pour transmettre si bien cette essence, belle, lumineuse, essentielle.
C.
J’ai pris quelques temps avant de vous écrire, afin de laisser l’empreinte de votre ouvrage s’établir en moi et m’habiter pleinement. Ces derniers mots reflètent vraiment la manière dont la Shekinah a résonné en moi. J’ai pu percevoir à travers vos mots, via cette sensibilité si bien imprégnée dans le texte, cette vibration, celle de « ma famille », ma famille d’âmes. Oui grâce à la grande subtilité de votre transmission, j’ai pu ressentir « là où j’appartiens ». Quelle grâce !! C’est un grand cadeau que vous m’avez fait.
Pour moi, les mots « subtilité » et « sensibilité » donnent un juste retour de votre travail. Merci d’avoir oeuvré pour transmettre si bien cette essence, belle, lumineuse, essentielle.
C.
J’ai lu ce livre d’un seul trait et avec bonheur .J’ai d’abord ouvert La Shekinah à la table des matières (comme je le fais habituellement) et suis de suite allée à la fin découvrir le « lien avec les Evangiles ».J’ai été enthousiasmée par l’hypothèse de l’existence de 2 enfants différents …, personnellement je n’y aurais jamais pensé et en plus il faut dire que mes connaissances bibliques datent !!!Donc pour bien profiter de la lecture de ce livre et pour me mettre dans le contexte j’ai passé des heures pour ne pas dire des jours à faire des recherches sur internet quant à la Bible, aux Evangiles de Matthieu et de Luc, l’arbre généalogique d’Anne et Joachim, sur ce qu’on savait de Joseph, Marie, Elisabeth, Cléophas etc etc, et à écouter entre autre les « écrits de Maria Valtorta »Grâce à La Shekinah j’ai élargi ma culture biblique, historique, géographique … et j’en suis reconnaissante.C’est avec maîtrise qu’Ava a « habillé », comme elle le dit si bien, toutes ses recherches et connaissances. L’écriture est fluide, le livre se lit facilement et je vais le recommander et l’offrir à mon entourage.Je me réjouis déjà de lire le tome 2.
G.
G.